Eau contaminée, conflit Israel-Hamas, loi anticasseurs ou encore l’énergie nucléaire, nombreux sont les dossiers à l’ordre du jour de l’interview politique dans les colonnes de SudInfo, ce samedi.
Georges-Louis Bouchez est revenu sur la crise de l’eau contaminée en Wallonie et plus particulièrement dans la commune de Chièvres (PFAS). Pour le libéral, la confiance à l’égard de la ministre écolo en charge de l’environnement, Céline Tellier, est fortement entravée. Pour le président du MR, trois problèmes majeurs se posent actuellement dans cette crise : « il y a la question de la santé publique, un vrai problème de gouvernance de la part de l’écologiste et enfin, un devoir d’information à la population qui n’a pas été réalisé, le tout dans une incohérence la plus totale. » souligne-t-il.
L’occasion également pour Georges-Louis Bouchez d’évoquer la Wallonie et ses problèmes de politique majeurs depuis près de 50 ans en soulignant la nécessité urgente de passer à une vraie rupture politique et de gouvernance en optant et en donnant à la famille libérale le score électoral nécessaire en 2024 pour faire prospérer la Wallonie.
Lors de cette interview, le président du MR est également revenu sur l’initiative du MR de proposer, via son groupe politique au Sénat, la diffusion d’un film sur l’horreur des événements qui se déroulent actuellement au Moyen-Orient et plus particulièrement en Israël. Un film refusé par la Chambre des Représentants quelques jours plus tôt créant l’indignation de certains politiques belges. Pour Georges-Louis Bouchez, toutes les pièces de ce conflit doivent être traitées pour pouvoir mieux comprendre la situation. Au même titre que les images qui sont diffusées sur le web, sans vérification préalable, il en va du devoir d’information des élus du pays.
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