S’il y a une chance de voir émerger une force novatrice à Mons, il faut la tenter, autour d’idées qui me tiennent à cœur comme la citoyenneté ou la gouvernance. J’ai d’abord vu en Georges-Louis Bouchez un Elio bis motivé par le pouvoir. Mais j’ai rencontré un homme qui a des idées et un idéal au-delà de sa personne, un esprit novateur et ouvert au-delà des étiquettes partisanes. Son discours sur l’allocation universelle et la globalisation des revenus me plaît.
(article à lire sur www.lavenir.net)