Ce jeudi, le président du MR Georges-Louis Bouchez a accepté, comme il le fait toujours, de débattre avec des syndicalistes socialistes avant le début de notre conférence. Un moment de dialogue démocratique, comme il se doit dans un pays libre.
Mais à son arrivée, un membre de ce groupe a préféré la violence aux arguments : un verre de bière lancé à la figure, des insultes, des menaces, des gestes obscènes. La police a dû intervenir pour assurer la sécurité de tous.
Ce triste épisode montre, une fois de plus, le vrai visage d’une certaine gauche : le refus du débat, l’intolérance face à la contradiction, la négation même des principes de la démocratie.
Face à cela, notre président aurait pu choisir de partir sous protection policière. Il ne l’a pas fait.
Il est resté. Il leur a fait face, avec calme et détermination.
Parce que nous n’avons pas peur. Parce que nous savons pourquoi nous nous battons : pour notre pays, pour nos concitoyens, pour nos enfants.
Aujourd’hui, Georges-Louis Bouchez le redit avec force :
Rien ni personne ne nous détournera de notre engagement.
Nous continuerons à défendre un travail mieux récompensé, une école de l’égalité des chances et une sécurité garantie pour tous.
Aux cris et aux insultes, nous répondrons par des projets et par des résultats.
À la violence, nous opposerons le courage et la fermeté.
Parce que nous sommes fiers d’être libéraux.