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Interpellé ce jeudi à la Chambre par le vice-premier ministre Pierre-Yves Dermagne, le président du Mouvement Réformateur, Georges-Louis Bouchez, a réaffirmé avec force la nécessité d’ouvrir de nouveaux marchés et de poursuivre les réformes économiques engagées par le gouvernement.

« J’assume pleinement que nous avons besoin de nouveaux marchés », a déclaré le président du MR, soulignant l’hypocrisie d’une partie de la gauche sur les accords commerciaux. « Votre président de parti riait tout à l’heure du Mercosur… Le même qui n’a pas voulu signer le CETA, avant de finalement le faire, permettant à la Wallonie d’obtenir 2 milliards d’euros de recettes supplémentaires. »

Georges-Louis Bouchez a également défendu les mesures en faveur du pouvoir d’achat, rappelant que les réformes tant critiquées par le PS permettront, dès l’an prochain, à de nombreux ménages de gagner jusqu’à 500 euros de plus.

Enfin, il a conclu avec une réplique directe :
« Monsieur Dermagne, vous avez pris cinquante ans pour conduire la Wallonie à la faillite. Laissez-nous au moins quelques mois pour redresser le pays. »

Une intervention franche et assumée, fidèle à la ligne du Mouvement Réformateur : agir avec responsabilité pour restaurer le travail, la prospérité et la confiance.