“Mons achète la quasi-intégralité de son matériel auprès de cette centrale d’achat. Or la presse a révélé des salaires prohibitifs et des statuts interpellants en faveur des responsables de cette structure. L’existence de telles pratiques salariales remet en cause l’idée selon laquelle Gial travaillait aux meilleures conditions. De telles pratiques peuvent donner lieu à un dommage pour la Ville de Mons qui devrait être réparé sur le plan civil, voire à des actes de tromperie, poursuivis pénalement.“
(article à lire sur www.lalibre.be)