Invité sur le plateau de LN24 ce jeudi 27 mars, Georges-Louis Bouchez est revenu sur plusieurs dossiers politiques et a réaffirmé la ligne claire du MR.
Il a d’abord rappelé que la Belgique connaît aujourd’hui un niveau de réformes inédit depuis 30 ans ! Si les interrogations de la population sont compréhensibles, rien ne justifie les violences, dégradations et menaces observées ces dernières semaines. Quand la gauche n’est pas au pouvoir, elle sème le désordre : cela s’est déjà vu avec Jean Gol, la suédoise, et cela se répète aujourd’hui !
Sur le plan fiscal, Georges-Louis Bouchez a mis en lumière l’irréalisme des propositions socialistes visant à ajouter 17 milliards d’impôts dans un pays déjà parmi les plus taxés au monde. Le MR, lui, plaide pour une fiscalité raisonnable, au service de la croissance et de l’emploi avec une réflexion sur l’obésité des services financés par l’état.
Il est également revenu sur le statut d’artiste, que le MR a toujours soutenu. Des ajustements sont nécessaires pour lutter contre les abus signalés par l’ONEM, mais le cadre du statut sera préservé.
En matière de sécurité, le président du MR a proposé de renforcer les outils de lutte contre les trafiquants de drogue, notamment par la saisie automatique de tous les biens en cas d’implication dans un réseau criminel. Il est temps de mettre fin aux procédures trop lourdes qui permettent à certains criminels de passer entre les mailles du filet.
Sur le plan institutionnel, Georges-Louis Bouchez a réaffirmé le refus total du MR de toute alliance avec le PTB, le Vlaams Belang ou des partis communautaristes. Le cordon sanitaire est et restera une ligne rouge !
Il a aussi attiré l’attention sur la situation budgétaire alarmante de la Région bruxelloise, dont le déficit atteindra 2,7 milliards d’euros en 2025 ! Une gestion rigoureuse s’impose pour éviter l’effondrement.
Enfin, il a évoqué les pressions idéologiques dans certaines écoles, où des enseignants s’autocensurent. Le MR rappelle l’importance du respect du droit, de la liberté d’expression et du refus des amalgames.