Merci ! Grâce à votre soutien massif, les élections locales ont démontré que le MR est bien le premier parti de Wallonie et de Bruxelles. Comparativement à 2018, le MR progresse dans toutes les provinces wallonnes et à Bruxelles. Ce succès, après celui des élections de juin 2024, confirme notre leadership. Découvrez la lettre de remerciement de Georges-Louis Bouchez.
Une lettre écrite par Georges-Louis Bouchez
« Grâce à votre soutien massif, les élections locales ont démontré que le MR est bien le premier parti de Wallonie et de Bruxelles. Comparativement à 2018, le MR progresse dans toutes les provinces wallonnes et à Bruxelles. Ce succès, après celui des élections de juin 2024, confirme notre leadership.
Un immense merci pour votre confiance. Je tiens également à remercier toutes les candidates et tous les candidats, les élus locaux, les collaborateurs et l’ensemble de nos membres et militants qui se sont investis sans compter. Leur travail n’a pas été vain.
Cette nouvelle victoire démontre que, durant la campagne électorale locale, le MR a pris en compte vos préoccupations quotidiennes : la sécurité, la propreté, la fiscalité juste, l’emploi, l’enseignement ou la mobilité.
La vague bleue a fait bouger le centre de gravité politique. Des mayorats ont basculé dans plusieurs villes comme Tournai, Verviers, Thuin, Tubize, Ottignies-Louvain-La-Neuve ou Watermael-Boitsfort. Le MR obtient à ce jour 115 bourgmestres et est présent dans 167 majorités. Vu les négociations toujours en cours, ce nombre ne peut qu’augmenter et c’est déjà plus qu’en 2018 ! Dans le même temps, nos progrès de près de 10 points dans toutes les grandes villes montrent notre ancrage de grand mouvement populaire.
Nous devons cependant rester vigilants. Alors qu’en Flandre, l’arrivée de l’extrême-droite au pouvoir dans deux communes inquiète légitimement, il est effarant de constater qu’à Bruxelles et en Wallonie, la gauche négocie avec l’extrême-gauche. On ne peut donner les clés de la gestion publique à des gens qui soutiennent des régimes totalitaires et violent des principes démocratiques majeurs. Une alliance avec l’extrême gauche, c’est par ailleurs la certitude d’une faillite financière pour la commune concernée. La gauche, dans son électoralisme, doit arrêter cette course folle qui nous conduit dans le précipice.
De notre côté, votre confiance nous honore et nous oblige. Nous allons poursuivre le travail déjà entamé en Wallonie et en Fédération Wallonie-Bruxelles. À Bruxelles et au fédéral, il est grand temps de conclure des accords de gouvernement pour concrétiser les nombreuses propositions figurant dans notre programme. Vous attendez des décisions en matière de baisse de la pression fiscale, de meilleure récompense du travail, de politique de l’emploi, de soins de santé ou de prolongation du nucléaire. Vous attendez des résultats concrets. Nous avons maintenant 5 ans pour vous convaincre que votre choix était le bon. »