Le président du Mouvement Réformateur est l’invité ce samedi 9 décembre des colonnes de la Dernière Heure. Quelques jours après le lancement de la campagne du MR partout sur le territoire, le président des libéraux est revenu sur les échecs de la gauche, leur complaisance avec l’islamisme politique et sur l’importance des traditions et repères en période de fin d’année.
« En Wallonie et à Bruxelles, il y a 50 nuances de gauche, et nous ». C’est le titre de la campagne lancé par les libéraux. Le président du MR est revenu sur le lancement de cette campagne et son explication stratégique. « l’idée est d’afficher ce message partout où la gauche a échoué dans ce pays, dans de nombreux quartiers bruxellois, dans le Hainaut et Liège en particulier. On va voir toute une série de personnes en leur présentant nos principes pour une démocratie libérale d’avenir ! ».
Une campagne qui va se décliner sur différents plans, exposant différentes thématiques. Parmi ces sujet, Georges-Louis Bouchez est revenu sur la complaisance de la gauche à l’égard de l’islamisme politique. « La gauche a tellement échoué partout sur ses bilans qu’elle est obligée aujourd’hui de faire dans le communautarisme. » Il continue : « La religion a toujours été employée à des fins politiques. La grandeur des démocraties libérales a été de mettre fin à la religion dans la politique. »
Enfin, à l’approche des fêtes de fin d’année, Georges-Louis Bouchez a rappelé l’importance, pour la famille libérale, des traditions qui y sont liées. « Nous sommes un parti attaché aux valeurs ! La vision woke de la société aujourd’hui vise à remettre toutes nos traditions en cause, il faut des éléments de structure, de communion. Arrêtons d’embêter les gens avec des brols ! Ceux qui font la police de la pensée ont des problèmes. Ils créent des problèmes là où les gens normaux n’en voient pas. Les gens font ce qu’ils veulent mais qu’ils n’imposent pas aux autres leur manière de penser et de faire, c’est anti libéral, un militantisme permanent ! »
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