À Mons comme ailleurs, la sécurité sociale est un pilier fondamental de notre modèle de société. Mais pour qu’elle tienne, il faut la financer. Et pour la financer durablement, il faut du travail. C’est cette vérité simple mais essentielle que Georges-Louis Bouchez a rappelée aujourd’hui, en tant que chef de file de Mons en Mieux.
« Aujourd’hui, c’est le parti libéral qui défend la sécurité sociale… en défendant le travail qui doit la financer ! », affirme-t-il avec force. Car la solidarité n’est pas un distributeur automatique : c’est un contrat social fondé sur l’idée que chacun, selon ses capacités, contribue à l’effort collectif.
À travers une nouvelle vidéo intitulée « Pour sauver la sécurité sociale, il faut réactiver la solidarité par le travail », Georges-Louis Bouchez insiste sur une priorité claire : permettre à chaque personne en capacité de travailler de le faire, grâce à un accompagnement adapté, des incitants justes et une politique active de l’emploi.
À Mons, cela signifie aussi rompre avec les discours de résignation, remettre l’exigence au cœur de l’action publique, et soutenir tous ceux qui veulent sortir de l’assistance pour retrouver leur autonomie. La vraie solidarité, c’est celle qui donne les moyens d’avancer, pas celle qui enferme dans la dépendance.