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Pour 2026, mon premier souhait est d’abord d’avoir la liberté de se réunir, d’échanger, de débattre et de partager des moments de convivialité avec vous.

Ces derniers mois, cette liberté est mise à mal. Des groupuscules d’extrême gauche se mobilisent pour empêcher nos événements de se tenir, effrayant notre public, qui n’est pas composé uniquement de militants, et entraînant une énorme mobilisation policière.

J’en profite d’ailleurs pour remercier nos forces de l’ordre, tout en rappelant que, pendant qu’elles assurent notre sécurité, elles ne sont pas sur le terrain pour garantir la vôtre. C’est extrêmement préoccupant pour notre démocratie. Il est sain qu’une diversité d’opinions existe dans notre société, et il est tout aussi sain de débattre ou de s’opposer. Mais la violence n’est jamais acceptable. Ceux qui ici prétendent défendre la démocratie sont en fait les représentants d’un nouveau totalitarisme. Face à ces débordements, nous ne nous tairons pas. En 2026, je continuerai à sillonner la Belgique pour aller à votre rencontre, écouter vos préoccupations, expliquer notre projet et nos décisions.

Mon second souhait, c’est que les mentalités continuent à changer en Belgique pour qu’enfin, le travail soit valorisé et récompensé à sa juste valeur. Cela sonne comme une évidence ? Pas pour tout le monde. Il y a quelques semaines, un reportage de RTL sur la fraude sociale a fait grand bruit. Beaucoup ont préféré « tuer le messager » en déposant plainte contre le journaliste plutôt que de prendre la mesure de son message et du ras-lebol d’une classe moyenne qui se lève chaque matin pour parfois gagner à peine plus, si pas moins, que certaines personnes présentées dans ce reportage.

Il ne s’agit pas de stigmatiser : chacun d’entre nous peut un jour faire face à une perte d’emploi, une maladie, un accident, et doit pouvoir dans ce cas bénéficier de la solidarité. Mais les abus sont inacceptables. La fraude, qu’elle soit sociale ou fiscale, doit être combattue. Cela implique aussi de créer les conditions favorisant le retour au travail des personnes qui en sont éloignées.

C’est le sens de nos réformes en matière de chômage, d’aides à l’emploi ou de formation. C’est aussi le sens de notre réforme fiscale qui entrera en vigueur dès cette année pour mieux récompenser celles et ceux qui travaillent. Alors que l’actualité internationale est pleine de défis, mon troisième souhait est que l’école soit plus que jamais le lieu de l’apprentissage et de la réflexion critique. Au-delà des ajustements budgétaires, nos réformes visent à agir concrètement pour la qualité de l’enseignement et la lutte contre la pénurie d’enseignants avec une planification des économies, mais aussi des investissements jusqu’en 2029. Toutes poursuivent la même ambition : recentrer l’école sur l’excellence et le respect du travail des équipes éducatives.

Cette année 2026 s’annonce palpitante, avec la concrétisation des nombreuses réformes décidées ces derniers mois, et de multiples occasions de vous rencontrer pour en discuter. Ce travail, nous le faisons pour vous et avec vous, à travers votre soutien renouvelé envers la démocratie libérale.

Une superbe année 2026 ! Et commençons l’année ensemble ce 4 janvier à partir 10h00 pour les vœux du MR à La Louvière !

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