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Bruxelles – 09/06/2024


 

Alors ce soir, ce n’est pas une victoire. C’est un moment historique dans le cadre de notre formation politique. Jamais le Mouvement réformateur, dans le cadre d’élection régionale, n’a pas se hisser à la première place francophone. Cela on vous le doit. Merci, merci pour cette belle victoire.

Au moment où je vous parle, le MR est la première formation politique de la capitale sans être dans un cartel. C’est la première fois que les libéraux, seuls, sont premiers à Bruxelles !

À ce stade également, le Mouvement réformateur à près de 70% des dépouillements en Wallonie est à la première place, crédité des fameux 30% dont je vous ai longuement parlé.

Cette victoire, elle doit nous responsabiliser parce qu’une victoire électorale, ce n’est pas un cadeau, c’est une responsabilité.

C’est la responsabilité d’appliquer les réformes.

C’est la responsabilité d’appliquer le signal que les Bruxelloises et les Bruxellois, mais aussi les Wallonnes et les Wallons nous ont envoyés.

Le signal d’enfin récompenser le travail.

Le signal de garantir la sécurité de chacune et chacun.

Le signal de mettre fin aux plans de mobilité qui enferment.

Le signal de garantir l’égalité des chances avec une école enfin efficace.

Alors aujourd’hui, le Mouvement informateur montre autre chose. C’est qu’avec de la détermination, on peut tout faire. Peu croyait, que ce soit dans les médias, que ce soit au niveau des commentateurs, que nous puissions être la première formation politique francophone.

Mais le plus important n’était pas là. Le plus important, c’est que vous, vous y avez cru jusqu’au bout, et vous l’avez fait !

Alors je le disais tout à l’heure, une élection et une victoire, ça responsabilise.

Ça nous donne maintenant le devoir de mettre en œuvre notre programme. Ça nous donne le devoir de pouvoir créer la coalition qui permettra de faire les réformes que les Bruxellois et les Wallons nous demandent.

Pour ce faire, nous aurons dès demain les contacts nécessaires pouvoir mettre en œuvre le plus rapidement possible du côté francophone des gouvernements qui se mettront au travail, car pour Bruxelles, comme pour la Wallonie, il n’y a plus une minute à perdre et les libéraux seront tout de suite en action !

Alors, cette responsabilité francophone, elle nous engage surtout aussi pour l’avenir de notre pays. Ce soir, il y a des résultats électoraux. Ils sont clairs.

Il y a des résultats électoraux qui montrent une volonté de changement, une volonté de réforme. Cette volonté de réforme, et bien, nous ne devons pas la craindre parce que nous l’avons incarnée pendant toute la campagne et nous allons désormais l’incarner par nos décisions.

Alors ce soir, profitez-en, parce que la fête ne sera pas longue.

Je vous laisse jusqu’à demain, 9h, en sachant que je serai en radio à 7h50 pour ceux qui veulent vraiment faire leurs devoirs correctement.

Mais cette fête, elle ne doit pas être longue, parce que je l’ai dit, on doit se mettre au travail.  On doit se mettre au travail le plus rapidement. Mais en attendant, vous devez quand même faire cette fête. Parce que cette victoire, elle est le fruit de quatre années de travail. Elle est le fruit d’un travail de terrain. Elle est le fruit d’un travail sur les réseaux sociaux, dans les rues. Elle est le fruit d’un travail dans les débats.

Et qui a dit que la politique n’intéressait plus ? Les débats lors de cette campagne, on fait la différence.

Nos concitoyens ont pu réaliser qui portait des projets d’avenir, enthousiasmant de réforme, et qui était plutôt dans un certain conservatisme et une volonté de ne rien changer.

Alors oui, cette victoire, elle est le fruit de la valeur que nous portons aussi chèrement que la liberté, celle du travail. Cette victoire, c’est votre victoire, c’est notre victoire.

Alors ce soir, membres, militants, mandataires, candidats, et je voudrais vraiment un tonnerre d’applaudissements pour nos 376 candidats qui se sont battus sans relâche ! Merci.

Ils se sont battus sans relâche et cette victoire, elle doit servir d’exemple.

Quand nous avons été critiqués, nous avons été vilipendés, nous avons eu beaucoup de gens qui nous ont contestés.

Mais à la fin, quand on défend un projet juste, quand on décide de travailler, quand on ne dévie pas de ses valeurs, à la fin, la victoire est au bout.

Alors avant de conclure, je voudrais juste avoir un mot plus personnel pour l’ensemble des collaborateurs qui ont battu un travail extraordinaire, leur dire à quel point je suis fier d’eux.

Je voulais également saluer l’ensemble des collaborateurs du Mouvement réformateurs pour le travail qui a été mené dans ces gouvernements qui nous ont permis d’être crédibles au moment du scrutin.

Car ce que nous avons dit pendant la campagne, nous l’avons fait et nous avons tenté de le faire dans les gouvernements.

Je voudrais aussi remercier mes proches parce que le combat politique, il n’engage pas que le candidat. Il engage toute une famille et bien au-delà. Et à ce titre, puisqu’aujourd’hui c’est la fête des pères, je voudrais saluer tous les papas dans la salle et dire à mon fils à quel point je l’aime et que sans lui, je n’aurais certainement pas eu la capacité de mener une telle campagne.

Alors maintenant, profitez-en, faites la fête, mais demain à 8h, tous au boulot ! Merci beaucoup !