“quand on lit ce contrat, les choses sont assez simples , dit Georges-Louis Bouchez. D’un côté, Mars et la Ville chargent la barque de projets. De l’autre, la Fondation sert de banquier…”
“On met sous le coût de la Biennale des dépenses qui auraient de toute façon dû être assumées ( par la Ville ou Mars, NdlR) , avec ou sans Biennale.”
(article à lire sur www.la libre.be)