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Le Président du MR a exposé clairement les trois objectifs principaux de son parti pour les mois et années à venir ou encore la situation politique en France.

« Nos objectifs sont au nombre de trois ; il faut mettre en œuvre les réformes, structurer encore un peu plus le MR pour en faire durablement la première force politique francophone et faire en sorte d’avoir un maillage local qui permette les réformes nécessaires en Wallonie et à Bruxelles. »

Interrogé sur les ambitions nationales du Mouvement Réformateur, Georges-Louis Bouchez a évoqué des discussions avec des représentants de l’Open VLD et des citoyens. Le MR n’exclue pas la possibilité de présenter des listes en Flandre. « Si à un moment dans la refondation de l’Open VLD on a un intérêt à travailler ensemble, je pense que reconstituer un grand mouvement libéral sur le plan national serait positif. »

Sur le plan budgétaire, le président du MR a insisté sur la nécessité de maîtriser la progression des dépenses publiques, en particulier en Fédération Wallonie-Bruxelles. « Il faut rendre les politiques publiques plus efficaces, mieux les évaluer. On veut objectiver les choses, on veut être rigoureux dans le travail. »

Concernant Bruxelles, le leader libéral a exprimé son inquiétude face à la situation budgétaire actuelle, critiquant une gestion qu’il juge amateur. « À Bruxelles, on n’a aucune donnée, c’est un brouillard. Ça a été géré par des amateurs. On doit avancer de manière plus sérieuse. »

Enfin, Georges-Louis Bouchez a fermement condamné les extrêmes politiques, tant à droite qu’à gauche, les qualifiant de contraires aux valeurs libérales. « LFI et le RN c’est le même danger. Cette dissolution est vraisemblablement l’une des pires décisions de l’histoire contemporaine de la France. »

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