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Communiqué de presse | Section belge de l’Ecole internationale du Shape : le Fédéral fait des propositions, on attend celles de la Fédération Wallonie-Bruxelles

By 9 juin 2015No Comments

Communiqué de presse

« Section belge de l’Ecole internationale du Shape : le Fédéral fait des propositions, on attend celles de la Fédération Wallonie-Bruxelles »

Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles, Commission de l’Education, le mardi 9 juin 2015.

Contact : 0473/54.24.31 – 065/40.59.54 – georges.louis@glbouchez.be – glbouchez.be

Georges-Louis Bouchez est intervenu ce jour auprès de la Ministre Milquet afin de prendre connaissance du suivi du dossier de l’Ecole internationale du Shape par la Fédération Wallonie-Bruxelles. La section belge de l’école attend toujours les subsides en vue de poursuivre la construction des bâtiments. La Ministre Milquet a répondu au député qu’il y avait bien un accord entre le Fédéral et la Fédération Wallonie-Bruxelles sur le maintien de cette école. Pour entammer les travaux, 14 millions d’euros sont prévus dont un montant de 2 millions à charge de la Fédération Wallonie-Bruxelles et inscrits dans le Fonds des bâtiments scolaires. La Ministre s’est engagée sur l’agenda suivant : début des travaux en 2017 et réception du chantier pour 2020.
Georges-Louis Bouchez désirant faire toute la lumière dans ce dossier, a pu recueillir de nouveaux éléments. En réalité, le conseil des ministres du Gouvernement fédéral du 14 mars 2014, avec Elio Di Rupo comme Premier Ministre, s’était accordé sur ce dossier en budgettant un maximum de 14 millions d’euros. La Fédération Wallonie-Bruxelles était désignée pour mener à bien ces travaux, être l’interlocuteur responsable de ce projet ainsi qu’assumer les éventuels surcoûts en cas de retard. En outre, le Gouvernement mandatait le Premier Ministre de l’époque pour qu’il informe le Ministre-Président de la Fédération Wallonie-Bruxelles des décisions du Fédéral en la matière. Enfin, un accord de coopération entre les deux niveaux de pouvoir était prévu pour déterminer les modalités pratiques. Or, en commission Education, Madame Milquet affirme qu’elle attend toujours cet accord. Les négociations auraient donc traîné et butent aujourd’hui sur un élément. En attente des nouveaux bâtiments, des containers ont été installés et étaient pris à charge dans le projet global. Cependant, les travaux ayant pris du retard, la Belgique doit assumer les 2,6 millions d’euros de surcoûts. Et si l’on s’en réfère à l’accord du conseil des ministres, cette charge doit être assumée par la Fédération Wallonie-Bruxelles. Sauf que le Premier Ministre de l’époque ne l’en a pas informé.
En conséquence, Georges-Louis Bouchez se réjouit des rencontres avec la Fédération Wallonie-Bruxelles fixées par le Premier Ministre afin de trouver une solution alors que le surcoût actuel et la recherche d’une solution auraient du incomber uniquement à la Fédération Wallonie-Bruxelles. Mais le moment n’est pas à la polémique mais bien à une recherche concertée pour une pérennisation de cette école qui permet à la Belgique de rayonner depuis 1968.