Le président du Mouvement Réformateur a accordé une interview au journal Le Soir, ce samedi 18 mars. L’occasion pour le libéral de revenir sur l’importance de réformer, au risque de voir le pays s’effondrer dans quelques années. Georges-Louis Bouchez recadre le conclave budgétaire et la feuille de route du gouvernement Vivaldi : il faut réduire les déficits, couper dans les dépenses, s’interdire de taxer, réformer le marché du travail et les pensions. Sans cela, soutient le président du MR, le pire peut arriver…
Si dès aujourd’hui, nous ne réduisons pas le déficit budgétaire et la dette nationale chaque année, il sera trop tard à la fin de la prochaine législature, en 2029. Les intérêts que nous payons sur notre dette deviendront alors beaucoup trop élevés. “Pour éviter cela, il est urgent de mettre plus de gens au travail, de réformer les pensions et de réduire les dépenses publiques. Nous devons réformer pour sauver la sécurité sociale et le service public. Ceux qui refusent les réformes mettent en danger notre sécurité sociale. ”