Dans le cadre d’une semaine spéciale dédiée aux présidents de parti, un an avant les élections, le président du Mouvement réformateur est revenu sur le bilan des réformateurs aux différents niveaux de pouvoir. L’occasion aussi pour le libéral de se projeter dans les grands challenges qu’attendent encore notre pays, nos régions.
« Le MR réformera jusqu’à la dernière seconde dans le gouvernement fédéral »
Le MR est le seul parti à garantir l’autonomie énergétique du pays. Georges-Louis Bouchez a rappelé lors de la matinale que le dossier nucléaire est un des grands accomplissements des libéraux au sein de l’exécutif. Pour nous, il est évident, primordial et crucial de maintenir au-delà de deux réacteurs. Il en va de la survie du pays. Toutes les unités nucléaires, qui peuvent l’être, doivent être maintenues. Le président du MR insiste : « Je m’impatiente grandement sur ce dossier, nous devons trancher et arrêter les circonvolutions. Je sais qu’il y a une deadline pour la fin du mois mais nous devons atterrir bien avant. »
Le libéral précise qu’au-delà de cette action politique majeure, des politiques fiscales et d’emploi particulières sont la clef pour un meilleur mode de vie. Ce travail déjà entamé par nos ministres a permis, en période de crises, d’éviter certaines catastrophes et de soutenir de nombreux travailleurs. « L’augmentation de l’activité des travailleurs permettra de financer une baisse d’impôts et d’augmenter le pouvoir d’achat des citoyens. On doit changer de système, le travail doit être mieux récompensé et ceux qui font preuve de mauvaise volonté doivent être sanctionnés. Il ne faut pas avoir peur de le dire. » a déclaré Georges-Louis Bouchez.
Pour conclure sur la situation du gouvernement fédéral, le président des réformateurs est revenu sur les blocages persistants de la gauche au sein de la Vivaldi : « Je le rappelle, le MR travaillera jusqu’à la dernière seconde dans ce gouvernement. Les partis de gauche prennent en otage l’exécutif. Le PS ne veut pas réformer les pensions, ni le travail. Les Ecolo aussi nous prennent en otage sur l’énergie. J’appelle donc la gauche de ce gouvernement à revenir à plus de raison. »
« La Wallonie a besoin de plus, plus fort et plus vite dans les prochains mois! »
L’impact du Mouvement réformateur en Wallonie n’est pas des moindre. Le travail de nos ministres en région que sont Willy Borsus, Adrien Dolimont et Valérie De Bue a permis de réformer de nombreuses matières. Pour Georges-Louis Bouchez : « En Wallonie, le MR a aussi un bon bilan : la fiscalité automobile, la suppression de certaines taxes, des réformes ciblées en matière de sécurité routière et tourisme etc. Cependant, la Wallonie a encore besoin de réformes : le Forem et la formation, des réformes plus globales (trop de structures avec trop d’effectifs), transformer les provinces (rôle des communes). La Wallonie a besoin de plus, plus fort et plus vite dans les prochains mois! » et de préciser « « Le Mouvement réformateur est le seul vrai parti de réformes pour faire entrer le pays dans la modernité et le seul à maintenir son cap à l’horizon 2030. Dans les grandes villes wallonnes, il faut convaincre et s’appuyer sur notre maillage de terrain. »
