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Quelques heures après la prestation de serment du nouveau gouvernement fédéral, l’homme fort de la politique belge francophone, Georges-Louis Bouchez, était l’invité de « Bonsoir le Débat » sur LN24 et du journal de 19h30 sur la RTBF. L’occasion pour le Président du MR de revenir sur le choix de ses ministres, sur les réformes à mener pour notre pays ainsi que sur sa décision personnelle de ne pas être monté au gouvernement.

Georges-Louis Bouchez : « Ceux qui ne sont pas d’accord avec la gauche subissent des attaques d’une violence de plus en plus forte. Je le vois depuis la victoire du 9 juin.

 Pendant plus de 30 ans, il y a eu une vraie domination de la gauche dans la manière d’envisager et de parler à tous ceux qui ne sont pas d’accord avec eux.

 Il va donc falloir contrer ce récit. Il va falloir expliquer les réformes. Il va falloir montrer une autre vision du monde. C’est ça, la guerre culturelle. Et c’est même l’essence de la politique. Parce que la politique, avant de gagner dans les urnes, c’est d’abord gagner dans les esprits.

 Les gens qui sont en capacité de travailler et qui veulent travailler seront aidés. Ceux qui, par contre, espèrent vivre sur le compte de la collectivité seront sanctionnés. C’est simplement du bon sens et la véritable solidarité sociale.

 La solidarité sociale doit exister, mais elle ne doit pas être mieux payée que le travail. Les personnes qui sont réellement malades ne doivent pas s’inquiéter : rien ne changera pour elles. Par contre, ce que nous allons faire, c’est chasser les certificats de complaisance. Parce que oui, ça existe : des gens qui ont un billet de maladie sans être malades et qui portent atteinte à la solidarité ».

Revoir « Bonsoir le Débat » sur LN24

Revoir JT 19h30