“Un nouveau bon d’État n’est possible que s’il est également bon pour les finances de l’État et si les banques n’en souffrent pas”, a répondu Georges-Louis Bouchez sur VTM Nieuws dimanche. “Après tout, les banques répercuteraient leurs pertes d’épargne sur leurs clients. En outre, le gouvernement ne devrait pas concurrencer le secteur bancaire. Ce n’est pas son rôle.”
Le président du MR a ajouté qu’il ne fallait pas comparer le rendement d’un bon d’État à celui d’un livret d’épargne, mais à celui d’un compte à terme. Les banques offrent ces comptes à terme. Il a également averti qu’un nouveau bon d’État pourrait avoir des conséquences négatives pour les petites banques belges, qui ne peuvent accorder des prêts que grâce à l’épargne qu’elles reçoivent et qu’elles gèrent.