Familieklap est une série d’interviews parue dans Zeno, le supplément du week-end du journal De Morgen. Le journaliste et auteur Matthias M.R. Declercq y interroge les liens de parenté. Il s’est rendu à Mons, dans la maison parentale de Georges-Louis Bouchez, pour une conversation à bâtons rompus avec Rosalie, la maman, et son fils très occupé.
Rosalie : “Lorsque les grandes chaînes sont apparues, il est devenu de plus en plus difficile pour les petits indépendants comme nous de survivre”.
Georges-Louis : “Mes parents fait leurs projets, ils n’ont jamais fait appel au CPAS et ont privilégié leur liberté. C’est de là qu’est né mon libéralisme.”
Mama Rosalie : “Georges-Louis ne va pas faire de concessions pour plaire à qui que ce soit. Cette honnêteté, tout le monde ne la comprend pas, mais je l’admire.”
Georges-Louis : “Je ne mens pas, je ne dis pas des choses que je ne pense pas. C’est ce que m’ont inculqué mes parents, à qui je dois beaucoup.