C’est pour de tels moments que nous faisons de la politique. Voir la réalisation concrète d’une promesse faite le 29 juin 2017 devant une assemblée lors d’un débat sur la mémoire coloniale.
Je m’étais engagé à déposer une motion au conseil communal de la Ville de Mons afin d’apposer à côté d’une plaque offerte en 1908 par les écoles communales de Mons rendant hommage aux colons, une autre célébrant l’indépendance du Congo mais reconnaissant également l’assassinat de Patrice Lumumba mais aussi de Maurice Mpolo et de Joseph Okito, pères de l’indépendance.
Je m’étais engagé à déposer une motion au conseil communal de la Ville de Mons afin d’apposer à côté d’une plaque offerte en 1908 par les écoles communales de Mons rendant hommage aux colons, une autre célébrant l’indépendance du Congo mais reconnaissant également l’assassinat de Patrice Lumumba mais aussi de Maurice Mpolo et de Joseph Okito, pères de l’indépendance.
Cette motion a été adoptée à l’unanimité en septembre 2017 et aujourd’hui, en ce 21 octobre, c’est non sans une certaine émotion que j’ai participé à l’inauguration de cette plaque commémorative, accompagnée d’une plaquette explicative, en présence de certains descendants. Une première en Belgique !
Cet acte symbolique est un premier pas vers la reconnaissance d’une Histoire commune. Car de nombreux belges d’origine congolaise ne se retrouvent pas toujours dans notre société qui fait abstraction d’une part importante de l’Histoire, de notre Histoire. Une société apaisée et fraternelle ne pourra passer que par une conscience commune et partagée de tous, sans exception ou rejet. Et cela se fera par l’éducation.
Ainsi, après cette première étape, la prochaine sera, lors des élections de mai 2019, de faire inscrire l’apprentissage obligatoire de l’Histoire de la colonisation belge au Congo dans l’enseignement. Tous les élèves doivent savoir ce qu’a été la colonisation mais aussi les actes commis par la Belgique. C’est de la connaissance et du savoir que viendra la paix entre les individus.
Cet acte symbolique est un premier pas vers la reconnaissance d’une Histoire commune. Car de nombreux belges d’origine congolaise ne se retrouvent pas toujours dans notre société qui fait abstraction d’une part importante de l’Histoire, de notre Histoire. Une société apaisée et fraternelle ne pourra passer que par une conscience commune et partagée de tous, sans exception ou rejet. Et cela se fera par l’éducation.
Ainsi, après cette première étape, la prochaine sera, lors des élections de mai 2019, de faire inscrire l’apprentissage obligatoire de l’Histoire de la colonisation belge au Congo dans l’enseignement. Tous les élèves doivent savoir ce qu’a été la colonisation mais aussi les actes commis par la Belgique. C’est de la connaissance et du savoir que viendra la paix entre les individus.