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Alors que la COP26 touche à sa fin, le président du MR est présent à Glasgow, notamment pour y défendre sa vision en matière énergétique.

Les négociations sont entrées dans leur dernière ligne droite à la COP26 à Glasgow, dont la fin est prévue ce soir. Mais comme c’était déjà le cas lors des précédents rendez-vous, les discussions vont certainement se prolonger.

Les pays participants sont appelés à s’engager pour renforcer leurs plans de réductions d’émissions de CO2 et à réaffirmer leur engagement de limiter le réchauffement climatique à 1,5°. Il s’agit donc de prendre des mesures de réductions rapides, fortes et soutenues des émissions mondiales d’émissions de gaz à effet de serre, dont des réductions d’émissions de CO2 de 45% en 2030 par rapport au niveau de 2010 et à la neutralité carbone vers le milieu du siècle. La question de la solidarité avec les pays en voie de développement est également sur la table.

Georges-Louis Bouchez regrette l’approche catastrophiste entretenue par certains. L’enjeu est un des plus grands défis de notre Histoire. Mais il estime justement important d’y être pour faire entendre une voix de solutions. « Au MR, nous sommes dans une approche positive, basée sur un triangle incontournable : le climat, l’enjeu socio-économique et celui des libertés fondamentales et individuelles », rappelle-t-il. Alors que la Cop26 entre dans sa phase de conclusion, il est important de rappeler ces valeurs libérales et de concrétiser les solutions.

Au niveau belge, le MR souhaite prolonger deux centrales nucléaires et viser un mix énergétique renouvelables/nucléaire. Le MR propose aussi détendre le marché européen des permis d’émissions de CO2 et de réinstaurer un projet industriel en Europe afin que les standards environnementaux européens aient une véritable influence au niveau mondial. Le MR rappelle également que remplacer des centrales nucléaires par des centrales au gaz est un non-sens climatique vu les conséquences en termes d’émission de CO2.