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L’autre caillou qui continue à faire boiter la biennale, c’est le tir de barrage de l’opposition MR montoise emmenée par le bouillant Georges-Louis Bouchez contre Mons 2018, humant un entêtant parfum d’opportunisme politique socialiste à l’horizon des élections communales du 14 octobre 2018 et celles, fédérales et régionales, de mai 2019. Encombrant administrateur de la Fondation Mons 2025, le chef de file MR et conseiller communal sort régulièrement le bazooka pour atomiser l’événement ou du moins, son mode d’organisation. “Mons 2018 est un aspirateur à subsides pour la ville et une vitrine électorale instrumentalisée par les socialistes, le maïeur Elio Di Rupo candidat à sa succession en tête”, clame-t-il.

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(article librement consultable après inscription sur le site www.lecho.be)